Programme de mai

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Programme d'avril

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Programme de mars 2021

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L'alerte concernant le 3919 est levée : annulation du marché public !

Lisez le communiqué de presse

du 3919 Violences Femmes Info


Où en est-on de la "Loi Schiappa" de 2018 contre les violences sexuelles ?

Lettre du Service Public n°1004 du 28 décembre 2020

 

Loi de 2018 contre les violences sexuelles : quel bilan ?

 

Plus de 220 000 personnes seraient victimes chaque année de viol, de tentative de viol ou d’agression sexuelle en France. Or, la justice n’a prononcé en 2018 que 966 condamnations pour viol et 4 631 pour agression sexuelle. Une loi adoptée en 2018 vise à lutter contre l’impunité des auteurs de ces faits.

Malgré la progression du droit pénal, des difficultés persistent, notamment un manque de prévention sur la notion de consentement, en matière de viol conjugal et un niveau de protection des mineurs très insuffisant.

La loi du 3 août 2018 renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, dite "loi Schiappa", a consolidé l’arsenal répressif dans ce domaine. Un rapport d’évaluation de cette loi, publié en décembre 2020, dresse un bilan de son application et propose des pistes d’amélioration.

 

Les avancées et les limites de la loi

La loi Schiappa renforce le droit pénal en matière de lutte contre les violences sexuelles. Elle :

crée la contravention d’outrage sexiste et élargit le délit de harcèlement sexuel aux comportements et propos sexistes ; 

-  - intègre à la définition du viol l’acte de pénétration sexuelle imposé à la victime par et sur l’auteur ; 

-  - encadre juridiquement le harcèlement numérique en meute ; 

-  - crée une incrimination pénale pour le délit de voyeurisme ; 

- - allonge de 20 à 30 ans le délai de prescription des crimes sur mineurs ; 

-  - instaure un seuil d’âge de 15 ans pour qualifier les faits de viol et d’agression sexuelle ;

 étend la définition de l’inceste aux victimes majeures ;

- prend en compte l’enfant témoin de violences conjugales et sexuelles.

 

Mais des difficultés persistent, dont :

- un manque de données sur les violences sexuelles et sexistes, en particulier sur le harcèlement sexuel, les violences en ligne et la situation outre-mer ;

- un manque d’information et de prévention sur la notion de consentement, en matière de viol conjugal notamment ;

 - un niveau de protection des mineurs très insuffisant ;

- une législation, une prévention et une information encore insuffisantes sur l’inceste.

 

Les principales recommandations

Afin de mieux protéger les mineurs contre les violences sexuelles, le rapport préconise : 

- de réprimer plus sévèrement les rapports sexuels entre un majeur et un mineur de moins de 15 ans par la création de deux infractions autonomes ;

de renforcer l’éducation à la vie sexuelle et affective dans le cadre scolaire et périscolaire ;

de mieux former les personnes amenées à encadrer des enfants à titre professionnel ou bénévole, et de contrôler systématiquement les antécédents judiciaires de ces personnes.

 

Pour lutter contre toutes les formes de sexisme et de violence sexuelle, le rapport suggère :

- de redéfinir le délit d’exhibition sexuelle et de le sanctionner plus lourdement ;

- d’organiser une campagne nationale de lutte contre les violences sexuelles et sexistes ;

 - d’amplifier la prévention et l’accompagnement des victimes et des auteurs de violences en améliorant la formation des professionnels, en développant les lieux d’accueil des victimes et en renforçant le suivi médical des auteurs afin d’éviter la récidive.

 

 

 


Programme de janvier 2021

Le programme de janvier 2021 est disponible

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Sauvons le 3919

Communiqué de presse

Protéger les victimes de violences conjugales

est une mission d’intérêt général,

elle ne saurait être soumise à une logique de marché.

(Paris, le 17 novembre 2020) - Alors que la lutte contre les violences conjugales est officiellement au cœur des préoccupations du gouvernement, ce-dernier veut soumettre la Fédération nationale Solidarités femmes (FNSF) à la concurrence pour la ligne nationale d’écoute, le 3919. Ce projet présente un risque majeur de détérioration d’une écoute engagée pour des dizaines de milliers de femmes victimes soutenues, conseillées et orientées chaque année, chiffre en hausse de 192% sur le premier semestre 2020.

Solidarité Femmes, fédération de 73 associations présentes dans toute la France, et ses partenaires signataires de ce communiqué, demandent au gouvernement de renoncer au passage en « marché public » et de renforcer son soutien à la FNSF pour permettre le passage à une écoute 24h/24, 7j/7.

 

Les violences faites aux femmes ont été inscrites comme grande cause du quinquennat. Le Président de la République, lors du lancement du Grenelle, le 3 septembre 2019, a rendu visite à l’équipe des écoutantes du numéro national créé et porté par Solidarité Femmes depuis près de 30 ans avec en appui 12 associations nationales de défense des droits des femmes. À l’issue de ce Grenelle, le gouvernement a répondu positivement à la demande - formulée à plusieurs reprises par la FNSF - d’ouvrir ce service 24h/24.

 

Mais le gouvernement, à travers les annonces de Marlène Schiappa puis d’Elisabeth Moreno, actuelle ministre déléguée chargée de l’Égalité femmes-hommes, a décidé de mettre en concurrence le réseau qui gère le 3919, via la création d’un marché public.

La lutte contre les violences et la protection des femmes est une cause d’intérêt général et non une activité marchande à laquelle on peut appliquer les lois du marché.

 

Alors que les critères d’attribution d’un marché public sont notamment quantitatifs (nombre d’appels répondus, temps moyen passé par appel, etc.), la démarche actuelle du 3919 concilie une forte capacité de réponse et une écoute extrêmement qualitative et inconditionnelle : pour les 2 000 victimes prises en charge chaque semaine (7 000 lors du premier confinement), avec le temps d’écoute nécessaire pour chaque femme, suivies d’une orientation vers une association locale capable de les soutenir dans la durée. Ces appels nécessitent une écoute particulière, une formation et une qualification. Il s’y joue un travail de déconstruction, avec les victimes, des mécanismes à l’œuvre dans les violences sexistes. De surcroît, l’écoute est le premier jalon de la relation de confiance. Quiconque s’est intéressé à l’emprise et aux violences conjugales sait qu’il faut parcourir un long chemin pour en sortir : la qualité de l’accompagnement lors des premiers instants est cruciale. Normer ce temps et le soumettre à une logique de rendement n’aurait aucun sens.

 

Aujourd’hui, le 3919 fonctionne grâce à une connaissance fine des dispositifs de soutien aux victimes et s’appuie sur un maillage associatif dense, capable de prendre en charge les femmes pour un accompagnement à l’hébergement ou pour un appui psychologique, juridique ou social. Passer le 3919 en « marché public », c’est prendre le risque de perdre cette richesse et de fragiliser une coordination d’associations engagées contre les violences faites aux femmes. Même si Solidarité Femmes se voit attribuer ce premier marché, quid de demain ? Sera-t-il confié à un opérateur, qui présentera des coûts moindres, plus de rendement, mais sans engagement pour les droits des femmes ?

 

Enfin, le timing de ce changement est particulièrement mal choisi en période de confinement. Avec une augmentation des appels de +192 % au 1er semestre 2020 par rapport à la même période en 2019 (97 481 appels entrants/33 430), nos équipes doivent réserver leurs forces au terrain, d’autant que la crise sanitaire est loin d’être terminée.

 

Les signataires appellent donc le gouvernement à renoncer au marché public, et demandent l’allocation des fonds complémentaires pour l'ouverture du service 24/24 en 2021, sous forme d’une convention pluriannuelle d’objectifs et de moyens (CPOM) pour la FNSF comme pour les autres associations partenaires de la ligne d’écoute nationale. La FNSF rappelle que pour son action, elle est soutenue par l’Etat, mais aussi par des collectivités locales et des fonds privés.

 

Porte-voix et soutien de centaines de milliers de femmes victimes et de leurs enfants, elles comptent sur le gouvernement pour entendre cet appel et apporter les réponses qu’elles sollicitent depuis plusieurs mois.

 

 

Signataires : La Fédération Nationale Femmes Solidaires (FNSF) - L’Amicale du Nid (ADN) – L’Assemblée des Femmes - L' Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT) - Chiennes de garde - Le Collectif Féministe Contre le Viol (CFCV) - Le Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF) - La Coordination française pour le Lobby Européen des Femmes (CLEF) - La Fédération Nationale des Centres d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles (FNCIDFF) - La Fédération Nationale GAMS (Groupe pour l’Abolition des Mutilations Sexuelles) - Femmes pour le Dire Femmes pour Agir (FDFA) - Femmes Solidaires - L’Institut Women Safe - La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) - La Maison des Femmes de Saint Denis – Le Mouvement du Nid (MdN)- Le Mouvement Français pour le Planning Familial (MFPF) - Osez Le Féminisme (OLF) - Réussir l'égalité femmes-hommes - Sida Info Service (SIS) - L’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (UNIOPSS) , l’Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF).

 

Plus d’informations  www.solidaritefemmes.org

 

NB « Mettre en concurrence le 3919, c’est prendre le risque de faire vaciller un réseau national d’associations de terrain et de leurs partenaires », tribune signée par des personnalités est parue sur Le Monde et une pétition sera lancée dans la journée sur Change.org

 

Contact Médias :

 

 

 


Pendant le confinement, la Maison des Femmes est ouverte.

Les horaires sont inchangés : du lundi au vendredi, de 9h à 17h. 

Mais les entretiens ont lieu sur rendez-vous téléphonique.

Seules les personnes qui viennent en urgence sont reçues sans rendez-vous. 

Maintien de la permanence psychologique (sur rendez-vous), le jeudi après-midi.  

En revanche, pas d’ateliers de resocialisation, ni de rencontres informelles. 


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Programme de novembre 2020

Le programme de novembre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Programme d'octobre 2020

Le  programme d'octobre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Assemblée Générale du 29/09/2020

Vous trouverez ci-joint le dossier correspondant à l'Assemblé Générale du 29/09/2020. Convocation, ordre du jour, pouvoir, bulletin d'adhésion.


Budget participatif : on a gagné !

C'est la Maison des Femmes de Villeneuve-sur-Lot qui a gagné pour le canton de Villeneuve 1 dans le cadre du Budget participatif.


Programme de septembre 2020

Le programme de septembre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Soutenez le projet de la Maison des Femmes

 

L'équipe de la Maison des Femmes a besoin de votre aide pour soutenir le projet de la Maison des Femmes dans le cadre du Budget participatif du Lot-et-Garonne.

 

Le Budget Participatif Citoyen de Lot-et-Garonne est un dispositif qui permet aux Lot-et-Garonnaises et Lot-et-Garonnais de proposer et de décider eux-mêmes de l’affectation d’une partie du budget d’investissement du Département sur la base d’idées citoyennes.

 

Notre projet : Rénovation du lieu d'accueil de la Maison des Femmes # 5045

 

La Maison des Femmes est destinée à offrir un lieu de ressources aux femmes victimes de violence. En tant qu'Accueil de Jour, la Maison des Femmes reçoit les femmes qui le souhaitent pendant toute la journée, et leur offre des entretiens professionnels, des ateliers de loisirs et de resocialisation, et aussi des lieux de repos.

 

Actuellement la Maison souffre de l'usure des lieux qui entame la chaleur de l'atmosphère. Elle mériterait un rafraîchissement.

 

Le projet porte sur la rénovation de trois pièces centrales (bureau, salle de bain et cuisine). Ainsi seront assurés sereinement l'accueil, le réconfort et la tranquillité des femmes.

 

QUI PEUT VOTER ? Tout citoyen âgé d’au moins 11 ans et résidant en Lot-et-Garonne.

 

COMMENT VOTER ? Les électeurs doivent voter obligatoirement pour 3 projets différents de leur choix (sans priorisation), sous peine de nullité du vote.

 

OÙ ET COMMENT ?

 

• Sur internet : www.initiativecitoyenne47.fr

 

• Dans les urnes disposées à cet effet dans les mairies aux horaires d’ouverture habituels ou à l’Hôtel du Département (accueil et MDPH).

 

QUAND ? Du 1er juillet au 4 septembre 2020.

 

Soutenez le projet ≠ 5045 de la Maison des Femmes

 


Téléchargez le projet complet illustré de la Maison des Femmes.


Un chèque de l'agence Kobold d'Agen

Deux membres de l'équipe de l'agence Kobold d'Agen sont venus hier rencontrer l'équipe de la Maison des Femmes pour lui remettre un chèque de 750 euros. Kobold, c'est un aspirateur qui aspire et nettoie, redoutablement efficace, distribué grâce à la vente à domicile par un ou une conseillère. Quant au chèque, c'est le fruit d'une collecte impulsée au niveau national pour permettre aux personnels des agences de conserver des liens pendant le confinement. Les cagnottes obtenues doivent être offertes à des associations ou des services travaillant le plus souvent dans le médical et le social.

 

Dans le Lot-et-Garonne, c'est la Maison des Femmes qui a été élue à l'unanimité, l'agence agenaise souhaitant consacrer un don à la lutte contre les violences faites aux femmes.

 

Un don qui est loin d'être négligeable, et qui a été offert et reçu dans la convivialité, le maître-mot pour M. Delattre et la conseillère, autour d'un rafraîchissement et d'un échange pour se connaître et s'apprécier. Une belle fin d'après-midi ! Merci à l'agence Kobold d'Agen !

 

Deux membres de l'équipe de l'agence Kobold d'Agen sont venus hier rencontrer l'équipe de la Maison des Femmes pour lui remettre un chèque de 750 euros. Kobold, c'est un aspirateur qui aspire et nettoie, redoutablement efficace, distribué grâce à la vente à domicile par un ou une conseillère. Quant au chèque, c'est le fruit d'une collecte impulsée au niveau national pour permettre aux personnels des agences de conserver des liens pendant le confinement. Les cagnottes obtenues doivent être offertes à des associations ou des services travaillant le plus souvent dans le médical et le social.

 

Dans le Lot-et-Garonne, c'est la Maison des Femmes qui a été élue à l'unanimité, l'agence agenaise souhaitant consacrer un don à la lutte contre les violences faites aux femmes.

 

Un don qui est loin d'être négligeable, et qui a été offert et reçu dans la convivialité, le maître-mot pour M. Delattre et la conseillère, autour d'un rafraîchissement et d'un échange pour se connaître et s'apprécier. Une belle fin d'après-midi ! Merci à l'agence Kobold d'Agen !

 


Rapport d'activité 2019

Prenez connaissance du Rapport d'activité de l'exercice 2019.


COVID19 : Consignes sanitaires

Prenez connaissance des consignes sanitaires à suivre dans la Maison des Femmes.


Réouverture de la Maison des Femmes

La Maison des Femmes est à nouveau ouverte, à partir du lundi 11 mai 2020, suivant les horaires habituels : du lundi au vendredi, de 9 à 17h.

 

Les entretiens individuels seront à nouveau assurés, mais les autres activités de la Maison des Femmes, ateliers, rencontres en salle de café, sont encore suspendues.

 

Pour respecter les consignes gouvernementales de sécurité sanitaire en vigueur, le port du masque est obligatoire dans les locaux, et le lavage des mains est de rigueur à l'entrée et à la sortie.


Confinement : la Maison des Femmes communique

Le confinement est une situation difficile pour tout le monde, mais à des degrés divers. Les femmes enfermées à leur domicile avec un compagnon violent et leurs enfants doivent bénéficier de notre attention. Le confinement exacerbe l'ennui et l'irritation, et peut être un motif d'aggravation de l'alcoolisme, donc il multiplie les risques d'injures et de coups. Lundi une femme est morte sous les coups de son conjoint, en Charente, et devant ses deux filles. Le gouvernement annonce une augmentation de plus de 30% des faits de violence conjugale. Songeons à la souffrance et au désespoir vécus par les femmes, et dont sont témoins et même victimes les enfants, grands et petits.

 

Mais la question est là : que faire pour leur porter secours, que faire pour les aider à sortir de cet enfer, à ne pas craindre pour leur vie et celle de leurs enfants ?

 

La Maison des Femmes fait appel à chacun de nous. Si vous entendez des cris répétés, si vous avez des raisons de suspecter que dans votre environnement, appartement ou maison proches, quelqu'un est victime de violence au sein de son foyer, n'hésitez pas, faites appel aux forces de police ou de gendarmerie, téléphonez-leur au 17 ou au 112 avec un téléphone portable. Vous pouvez aussi téléphoner au 3919, plateforme d'urgence, ou encore envoyer un message à la Maison des Femmes, maison.femmes@laposte.net.

Il en va de la sécurité et peut-être de la vie de quelqu'un que vous connaissez. En ces temps où la solidarité trouve de nouveaux moyens de s'exprimer malgré la distance qui s'impose entre les personnes, merci pour ces femmes et enfants.


Sud-Ouest : La Maison des Femmes et le confinement

Dans son rôle, c’est Marlène Schiappa, la secrétaire d’État à l’Égalité Femmes-Hommes, qui a tiré la sonnette d'alarme lundi juste avant la période de confinement imposée aux Français. « C’est un terrain propice aux violences conjugales », a-t-elle affirmé.Pour autant, quelques heures plus tôt, La Maison des Femmes de Villeneuve-sur-Lot venait de fermer ses portes. « Nous avons trois salariées et une vacataire, et nous recevons du public. Nous avons donc pris cette mesure pour protéger l’équipe, explique Colette Valat, présidente de la structure.  Et puis de toute façon, nous n’avons pas le choix, c’est une obligation qui nous a été faite, les services de l’État estimant qu’une permanence téléphonique suffisait durant cette crise sanitaire. »Néanmoins, la dirigeante donne pleinement raison à Marlène Schiappa et évoque « un accroissement des risques évident». D’autant que les femmes profitent habituellement du départ de leur mari de l’habitation pour pousser la porte de la structure et obtenir une oreille attentive voire, dans le pire des cas, un abri. « De plus, en cas de violences conjugales durant ce confinement, cela implique, vu que les enfants ne sont plus à l’école, qu’ils assistent à ces terribles scènes », soupire-t-elle.

« Pour sortir de leur habitation et pouvoir nous appeler, les femmes peuvent prétexter d’aller aux courses par exemple ».
Mercredi, elle a quand même appelé la Sous-préfète de Villeneuve, Véronique Schaaf, et la déléguée départementale aux Droits des femmes pour envisager une éventuelle dérogation. Sans succès. « Pour sortir de leur habitation et pouvoir nous appeler, les femmes peuvent prétexter d’aller aux courses par exemple, reprend-elle, avant de détailler la procédure. Elles pourront alors s’entretenir avec une conseillère qui, pour les cas d’urgence et de danger avéré, renverra sur la déléguée départementale pour une mise en sécurité ». Colette Valat regrette de ne pouvoir proposer mieux durant cette période « inédite » et promet, « si ça se reproduit, de mieux anticiper cette situation ». En attendant, elle croise les doigts : « Si ce confinement et ces déplacements restreints peuvent amener du bon avec une baisse de la pollution et une diminution du nombre de tués sur les routes, j’espère que le nombre de femmes victimes de violences conjugales ne sera pas encore pire durant les prochains jours. »

Contacts : la Maison des Femmes 05 53 40 03 62 sans oublier le 3919 mis en place par
l’État (gratuit et anonyme).

Sud-Ouest, Thierry Dumas, le 18 mars 2020.


Journée Internationale des Droits des Femmes

 

 

Le 8 mars, a eu lieu à Agen une manifestation pour les Droits des Femmes. Une fois de plus, la solidarité était de la partie, avec la présence de syndicats, et notamment du Groupe Mixité de la CGT, de notre association-soeur, le Planning Familial, de membres d'autres associations proches, comme Chrysalide 47, et de personnes affichant leurs convictions féministes.

La fin de la manifestation, aux Montreurs d'Images, a été l'occasion d'un apéritif qui a permis de poursuivre les conversations et les échanges.


Journée Internationale des droits des femmes - 13 mars

Le 13 mars, c'est la Journée Internationale des droits des femmes.

Au programme, exposition des ateliers Mère et Enfant, Déco-création et Couture, et conférence Femmes de science par Jean-Claude Marot, professeur agrégé de physique.


Programme de mars 2020

Le programme des activités de février est disponible.

Téléchargez-le.


Bla bla café du mardi 18 février 2020 : grandir dans la diversité

Dans le cadre de la préparation du prochain Keskili.
Avec Ali Al Muqri, écrivain, et Iyad Kallas, journaliste.


Programme de février 2020

Le programme des activités de février est disponible.

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Programme de janvier 2020

Le programme des activités de janvier est disponible.

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Bla bla café du 12 décembre 2019 : Discutons des mesures prises contre les violences faites aux femmes.

Après le Grenelle contre les violences faites aux femmes, nous discuterons ensemble des mesures prises et des actions qui restent à accomplir.


Communiqué de la Maison des Femmes

À l'occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes, la Maison des Femmes a fait paraître le communiqué ci-joint.


Nouvel atelier : cuisine-pâtisserie

La Maison des Femmes vous propose un nouvel atelier : cuisine-pâtisserie animé par Sabrina.

 

Cet atelier aura lieu les jeudis de 9 h à 12 h à la Maison des Femmes.

 

Vous êtes invitée à la réunion d'information qui aura lieu le jeudi 5 décembre 2019 à la Maison des Femmes.

 

 


Bla bla café du 21 novembre 2019 : Entendre les violences faites aux femmes

Entendre les violences faites aux femmes.

Dialoguez avec Laura Hervé et Rachida Statoua, conseillères conjugales et familiales, et Ursula Schaberl-Ogaki, psychologue et conseillère.


26/11/2019 "A thousand girls like me" : un film sur les incestes et les mariages forcés en Afghanistan et ailleurs


Téléchargez le tract sur le film "A thousand girls like me".


25/11/2019 Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Téléchargez le tract de la marche contre les violences faites aux femmes.


Programme de novembre 2019

Le programme des activités d'octobre est disponible.

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Programme d'octobre 2019

Le programme des activités d'octobre est disponible.

Téléchargez-le.


Stages de septembre 2019

En plus des activités habituelles, des stages ont lieu en septembre : Lire, écrire et parler en français et Aïkido.

Téléchargez le programme.


Programme de septembre 2019

Le programme des activités de septembre est disponible.

Téléchargez-le.


Programme d'août

Il n'y a pas d'activités en août mais l'accueil est assuré en permanence du lundi au vendredi de 9 h à 17 h sans interruption.


Rassemblement contre les féminicides

Un rassemblement est prévu le samedi 6 juillet à 17h00 Place de la République à Paris. Ce rassemblement se fait autour des familles des 70 femmes victimes de féminicides depuis le 1er janvier.

Toutes les informations sont disponibles sur la page Facebook suivante : https://www.facebook.com/events/340658613280305/

La Fédération Nationale Soldirarité Femmes soutient ce rassemblement qui aura lieu à 17h00 place de la République. Vous pouvez nous y rejoindre à partir de 16 h 30 au niveau de la statue sur la place.


Programme de juillet

Il n'y a pas d'activités en juillet mais l'accueil est assuré en permanence du lundi au vendredi de 9 h à 17 h sans interruption.


Programme Juin

N'oubliez pas de vous inscrire ( par téléphone ou en venant nous voir ) avant la séance 

Programme Mai

Notre actualité



Le programme d'avril est disponible : téléchargez-le. 


Programme de mai

Téléchargez le programme ici.


Programme d'avril

Le programme d'avril est à télécharger ici. 


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Où en est-on de la "Loi Schiappa" de 2018 contre les violences sexuelles ?

Lettre du Service Public n°1004 du 28 décembre 2020

 

Loi de 2018 contre les violences sexuelles : quel bilan ?

 

Plus de 220 000 personnes seraient victimes chaque année de viol, de tentative de viol ou d’agression sexuelle en France. Or, la justice n’a prononcé en 2018 que 966 condamnations pour viol et 4 631 pour agression sexuelle. Une loi adoptée en 2018 vise à lutter contre l’impunité des auteurs de ces faits.

Malgré la progression du droit pénal, des difficultés persistent, notamment un manque de prévention sur la notion de consentement, en matière de viol conjugal et un niveau de protection des mineurs très insuffisant.

La loi du 3 août 2018 renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, dite "loi Schiappa", a consolidé l’arsenal répressif dans ce domaine. Un rapport d’évaluation de cette loi, publié en décembre 2020, dresse un bilan de son application et propose des pistes d’amélioration.

 

Les avancées et les limites de la loi

La loi Schiappa renforce le droit pénal en matière de lutte contre les violences sexuelles. Elle :

crée la contravention d’outrage sexiste et élargit le délit de harcèlement sexuel aux comportements et propos sexistes ; 

-  - intègre à la définition du viol l’acte de pénétration sexuelle imposé à la victime par et sur l’auteur ; 

-  - encadre juridiquement le harcèlement numérique en meute ; 

-  - crée une incrimination pénale pour le délit de voyeurisme ; 

- - allonge de 20 à 30 ans le délai de prescription des crimes sur mineurs ; 

-  - instaure un seuil d’âge de 15 ans pour qualifier les faits de viol et d’agression sexuelle ;

 étend la définition de l’inceste aux victimes majeures ;

- prend en compte l’enfant témoin de violences conjugales et sexuelles.

 

Mais des difficultés persistent, dont :

- un manque de données sur les violences sexuelles et sexistes, en particulier sur le harcèlement sexuel, les violences en ligne et la situation outre-mer ;

- un manque d’information et de prévention sur la notion de consentement, en matière de viol conjugal notamment ;

 - un niveau de protection des mineurs très insuffisant ;

- une législation, une prévention et une information encore insuffisantes sur l’inceste.

 

Les principales recommandations

Afin de mieux protéger les mineurs contre les violences sexuelles, le rapport préconise : 

- de réprimer plus sévèrement les rapports sexuels entre un majeur et un mineur de moins de 15 ans par la création de deux infractions autonomes ;

de renforcer l’éducation à la vie sexuelle et affective dans le cadre scolaire et périscolaire ;

de mieux former les personnes amenées à encadrer des enfants à titre professionnel ou bénévole, et de contrôler systématiquement les antécédents judiciaires de ces personnes.

 

Pour lutter contre toutes les formes de sexisme et de violence sexuelle, le rapport suggère :

- de redéfinir le délit d’exhibition sexuelle et de le sanctionner plus lourdement ;

- d’organiser une campagne nationale de lutte contre les violences sexuelles et sexistes ;

 - d’amplifier la prévention et l’accompagnement des victimes et des auteurs de violences en améliorant la formation des professionnels, en développant les lieux d’accueil des victimes et en renforçant le suivi médical des auteurs afin d’éviter la récidive.

 

 

 


Programme de janvier 2021

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Sauvons le 3919

Communiqué de presse

Protéger les victimes de violences conjugales

est une mission d’intérêt général,

elle ne saurait être soumise à une logique de marché.

(Paris, le 17 novembre 2020) - Alors que la lutte contre les violences conjugales est officiellement au cœur des préoccupations du gouvernement, ce-dernier veut soumettre la Fédération nationale Solidarités femmes (FNSF) à la concurrence pour la ligne nationale d’écoute, le 3919. Ce projet présente un risque majeur de détérioration d’une écoute engagée pour des dizaines de milliers de femmes victimes soutenues, conseillées et orientées chaque année, chiffre en hausse de 192% sur le premier semestre 2020.

Solidarité Femmes, fédération de 73 associations présentes dans toute la France, et ses partenaires signataires de ce communiqué, demandent au gouvernement de renoncer au passage en « marché public » et de renforcer son soutien à la FNSF pour permettre le passage à une écoute 24h/24, 7j/7.

 

Les violences faites aux femmes ont été inscrites comme grande cause du quinquennat. Le Président de la République, lors du lancement du Grenelle, le 3 septembre 2019, a rendu visite à l’équipe des écoutantes du numéro national créé et porté par Solidarité Femmes depuis près de 30 ans avec en appui 12 associations nationales de défense des droits des femmes. À l’issue de ce Grenelle, le gouvernement a répondu positivement à la demande - formulée à plusieurs reprises par la FNSF - d’ouvrir ce service 24h/24.

 

Mais le gouvernement, à travers les annonces de Marlène Schiappa puis d’Elisabeth Moreno, actuelle ministre déléguée chargée de l’Égalité femmes-hommes, a décidé de mettre en concurrence le réseau qui gère le 3919, via la création d’un marché public.

La lutte contre les violences et la protection des femmes est une cause d’intérêt général et non une activité marchande à laquelle on peut appliquer les lois du marché.

 

Alors que les critères d’attribution d’un marché public sont notamment quantitatifs (nombre d’appels répondus, temps moyen passé par appel, etc.), la démarche actuelle du 3919 concilie une forte capacité de réponse et une écoute extrêmement qualitative et inconditionnelle : pour les 2 000 victimes prises en charge chaque semaine (7 000 lors du premier confinement), avec le temps d’écoute nécessaire pour chaque femme, suivies d’une orientation vers une association locale capable de les soutenir dans la durée. Ces appels nécessitent une écoute particulière, une formation et une qualification. Il s’y joue un travail de déconstruction, avec les victimes, des mécanismes à l’œuvre dans les violences sexistes. De surcroît, l’écoute est le premier jalon de la relation de confiance. Quiconque s’est intéressé à l’emprise et aux violences conjugales sait qu’il faut parcourir un long chemin pour en sortir : la qualité de l’accompagnement lors des premiers instants est cruciale. Normer ce temps et le soumettre à une logique de rendement n’aurait aucun sens.

 

Aujourd’hui, le 3919 fonctionne grâce à une connaissance fine des dispositifs de soutien aux victimes et s’appuie sur un maillage associatif dense, capable de prendre en charge les femmes pour un accompagnement à l’hébergement ou pour un appui psychologique, juridique ou social. Passer le 3919 en « marché public », c’est prendre le risque de perdre cette richesse et de fragiliser une coordination d’associations engagées contre les violences faites aux femmes. Même si Solidarité Femmes se voit attribuer ce premier marché, quid de demain ? Sera-t-il confié à un opérateur, qui présentera des coûts moindres, plus de rendement, mais sans engagement pour les droits des femmes ?

 

Enfin, le timing de ce changement est particulièrement mal choisi en période de confinement. Avec une augmentation des appels de +192 % au 1er semestre 2020 par rapport à la même période en 2019 (97 481 appels entrants/33 430), nos équipes doivent réserver leurs forces au terrain, d’autant que la crise sanitaire est loin d’être terminée.

 

Les signataires appellent donc le gouvernement à renoncer au marché public, et demandent l’allocation des fonds complémentaires pour l'ouverture du service 24/24 en 2021, sous forme d’une convention pluriannuelle d’objectifs et de moyens (CPOM) pour la FNSF comme pour les autres associations partenaires de la ligne d’écoute nationale. La FNSF rappelle que pour son action, elle est soutenue par l’Etat, mais aussi par des collectivités locales et des fonds privés.

 

Porte-voix et soutien de centaines de milliers de femmes victimes et de leurs enfants, elles comptent sur le gouvernement pour entendre cet appel et apporter les réponses qu’elles sollicitent depuis plusieurs mois.

 

 

Signataires : La Fédération Nationale Femmes Solidaires (FNSF) - L’Amicale du Nid (ADN) – L’Assemblée des Femmes - L' Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT) - Chiennes de garde - Le Collectif Féministe Contre le Viol (CFCV) - Le Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF) - La Coordination française pour le Lobby Européen des Femmes (CLEF) - La Fédération Nationale des Centres d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles (FNCIDFF) - La Fédération Nationale GAMS (Groupe pour l’Abolition des Mutilations Sexuelles) - Femmes pour le Dire Femmes pour Agir (FDFA) - Femmes Solidaires - L’Institut Women Safe - La Ligue des Droits de l’Homme (LDH) - La Maison des Femmes de Saint Denis – Le Mouvement du Nid (MdN)- Le Mouvement Français pour le Planning Familial (MFPF) - Osez Le Féminisme (OLF) - Réussir l'égalité femmes-hommes - Sida Info Service (SIS) - L’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (UNIOPSS) , l’Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF).

 

Plus d’informations  www.solidaritefemmes.org

 

NB « Mettre en concurrence le 3919, c’est prendre le risque de faire vaciller un réseau national d’associations de terrain et de leurs partenaires », tribune signée par des personnalités est parue sur Le Monde et une pétition sera lancée dans la journée sur Change.org

 

Contact Médias :

 

 

 


Pendant le confinement, la Maison des Femmes est ouverte.

Les horaires sont inchangés : du lundi au vendredi, de 9h à 17h. 

Mais les entretiens ont lieu sur rendez-vous téléphonique.

Seules les personnes qui viennent en urgence sont reçues sans rendez-vous. 

Maintien de la permanence psychologique (sur rendez-vous), le jeudi après-midi.  

En revanche, pas d’ateliers de resocialisation, ni de rencontres informelles. 


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Programme de novembre 2020

Le programme de novembre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Programme d'octobre 2020

Le  programme d'octobre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Assemblée Générale du 29/09/2020

Vous trouverez ci-joint le dossier correspondant à l'Assemblé Générale du 29/09/2020. Convocation, ordre du jour, pouvoir, bulletin d'adhésion.


Budget participatif : on a gagné !

C'est la Maison des Femmes de Villeneuve-sur-Lot qui a gagné pour le canton de Villeneuve 1 dans le cadre du Budget participatif.


Programme de septembre 2020

Le programme de septembre 2020 est disponible. Téléchargez-le.


Soutenez le projet de la Maison des Femmes

 

L'équipe de la Maison des Femmes a besoin de votre aide pour soutenir le projet de la Maison des Femmes dans le cadre du Budget participatif du Lot-et-Garonne.

 

Le Budget Participatif Citoyen de Lot-et-Garonne est un dispositif qui permet aux Lot-et-Garonnaises et Lot-et-Garonnais de proposer et de décider eux-mêmes de l’affectation d’une partie du budget d’investissement du Département sur la base d’idées citoyennes.

 

Notre projet : Rénovation du lieu d'accueil de la Maison des Femmes # 5045

 

La Maison des Femmes est destinée à offrir un lieu de ressources aux femmes victimes de violence. En tant qu'Accueil de Jour, la Maison des Femmes reçoit les femmes qui le souhaitent pendant toute la journée, et leur offre des entretiens professionnels, des ateliers de loisirs et de resocialisation, et aussi des lieux de repos.

 

Actuellement la Maison souffre de l'usure des lieux qui entame la chaleur de l'atmosphère. Elle mériterait un rafraîchissement.

 

Le projet porte sur la rénovation de trois pièces centrales (bureau, salle de bain et cuisine). Ainsi seront assurés sereinement l'accueil, le réconfort et la tranquillité des femmes.

 

QUI PEUT VOTER ? Tout citoyen âgé d’au moins 11 ans et résidant en Lot-et-Garonne.

 

COMMENT VOTER ? Les électeurs doivent voter obligatoirement pour 3 projets différents de leur choix (sans priorisation), sous peine de nullité du vote.

 

OÙ ET COMMENT ?

 

• Sur internet : www.initiativecitoyenne47.fr

 

• Dans les urnes disposées à cet effet dans les mairies aux horaires d’ouverture habituels ou à l’Hôtel du Département (accueil et MDPH).

 

QUAND ? Du 1er juillet au 4 septembre 2020.

 

Soutenez le projet ≠ 5045 de la Maison des Femmes

 


Téléchargez le projet complet illustré de la Maison des Femmes.


Un chèque de l'agence Kobold d'Agen

Deux membres de l'équipe de l'agence Kobold d'Agen sont venus hier rencontrer l'équipe de la Maison des Femmes pour lui remettre un chèque de 750 euros. Kobold, c'est un aspirateur qui aspire et nettoie, redoutablement efficace, distribué grâce à la vente à domicile par un ou une conseillère. Quant au chèque, c'est le fruit d'une collecte impulsée au niveau national pour permettre aux personnels des agences de conserver des liens pendant le confinement. Les cagnottes obtenues doivent être offertes à des associations ou des services travaillant le plus souvent dans le médical et le social.

 

Dans le Lot-et-Garonne, c'est la Maison des Femmes qui a été élue à l'unanimité, l'agence agenaise souhaitant consacrer un don à la lutte contre les violences faites aux femmes.

 

Un don qui est loin d'être négligeable, et qui a été offert et reçu dans la convivialité, le maître-mot pour M. Delattre et la conseillère, autour d'un rafraîchissement et d'un échange pour se connaître et s'apprécier. Une belle fin d'après-midi ! Merci à l'agence Kobold d'Agen !

 

Deux membres de l'équipe de l'agence Kobold d'Agen sont venus hier rencontrer l'équipe de la Maison des Femmes pour lui remettre un chèque de 750 euros. Kobold, c'est un aspirateur qui aspire et nettoie, redoutablement efficace, distribué grâce à la vente à domicile par un ou une conseillère. Quant au chèque, c'est le fruit d'une collecte impulsée au niveau national pour permettre aux personnels des agences de conserver des liens pendant le confinement. Les cagnottes obtenues doivent être offertes à des associations ou des services travaillant le plus souvent dans le médical et le social.

 

Dans le Lot-et-Garonne, c'est la Maison des Femmes qui a été élue à l'unanimité, l'agence agenaise souhaitant consacrer un don à la lutte contre les violences faites aux femmes.

 

Un don qui est loin d'être négligeable, et qui a été offert et reçu dans la convivialité, le maître-mot pour M. Delattre et la conseillère, autour d'un rafraîchissement et d'un échange pour se connaître et s'apprécier. Une belle fin d'après-midi ! Merci à l'agence Kobold d'Agen !

 


Rapport d'activité 2019

Prenez connaissance du Rapport d'activité de l'exercice 2019.


COVID19 : Consignes sanitaires

Prenez connaissance des consignes sanitaires à suivre dans la Maison des Femmes.


Réouverture de la Maison des Femmes

La Maison des Femmes est à nouveau ouverte, à partir du lundi 11 mai 2020, suivant les horaires habituels : du lundi au vendredi, de 9 à 17h.

 

Les entretiens individuels seront à nouveau assurés, mais les autres activités de la Maison des Femmes, ateliers, rencontres en salle de café, sont encore suspendues.

 

Pour respecter les consignes gouvernementales de sécurité sanitaire en vigueur, le port du masque est obligatoire dans les locaux, et le lavage des mains est de rigueur à l'entrée et à la sortie.


Confinement : la Maison des Femmes communique

Le confinement est une situation difficile pour tout le monde, mais à des degrés divers. Les femmes enfermées à leur domicile avec un compagnon violent et leurs enfants doivent bénéficier de notre attention. Le confinement exacerbe l'ennui et l'irritation, et peut être un motif d'aggravation de l'alcoolisme, donc il multiplie les risques d'injures et de coups. Lundi une femme est morte sous les coups de son conjoint, en Charente, et devant ses deux filles. Le gouvernement annonce une augmentation de plus de 30% des faits de violence conjugale. Songeons à la souffrance et au désespoir vécus par les femmes, et dont sont témoins et même victimes les enfants, grands et petits.

 

Mais la question est là : que faire pour leur porter secours, que faire pour les aider à sortir de cet enfer, à ne pas craindre pour leur vie et celle de leurs enfants ?

 

La Maison des Femmes fait appel à chacun de nous. Si vous entendez des cris répétés, si vous avez des raisons de suspecter que dans votre environnement, appartement ou maison proches, quelqu'un est victime de violence au sein de son foyer, n'hésitez pas, faites appel aux forces de police ou de gendarmerie, téléphonez-leur au 17 ou au 112 avec un téléphone portable. Vous pouvez aussi téléphoner au 3919, plateforme d'urgence, ou encore envoyer un message à la Maison des Femmes, maison.femmes@laposte.net.

Il en va de la sécurité et peut-être de la vie de quelqu'un que vous connaissez. En ces temps où la solidarité trouve de nouveaux moyens de s'exprimer malgré la distance qui s'impose entre les personnes, merci pour ces femmes et enfants.


Sud-Ouest : La Maison des Femmes et le confinement

Dans son rôle, c’est Marlène Schiappa, la secrétaire d’État à l’Égalité Femmes-Hommes, qui a tiré la sonnette d'alarme lundi juste avant la période de confinement imposée aux Français. « C’est un terrain propice aux violences conjugales », a-t-elle affirmé.Pour autant, quelques heures plus tôt, La Maison des Femmes de Villeneuve-sur-Lot venait de fermer ses portes. « Nous avons trois salariées et une vacataire, et nous recevons du public. Nous avons donc pris cette mesure pour protéger l’équipe, explique Colette Valat, présidente de la structure.  Et puis de toute façon, nous n’avons pas le choix, c’est une obligation qui nous a été faite, les services de l’État estimant qu’une permanence téléphonique suffisait durant cette crise sanitaire. »Néanmoins, la dirigeante donne pleinement raison à Marlène Schiappa et évoque « un accroissement des risques évident». D’autant que les femmes profitent habituellement du départ de leur mari de l’habitation pour pousser la porte de la structure et obtenir une oreille attentive voire, dans le pire des cas, un abri. « De plus, en cas de violences conjugales durant ce confinement, cela implique, vu que les enfants ne sont plus à l’école, qu’ils assistent à ces terribles scènes », soupire-t-elle.

« Pour sortir de leur habitation et pouvoir nous appeler, les femmes peuvent prétexter d’aller aux courses par exemple ».
Mercredi, elle a quand même appelé la Sous-préfète de Villeneuve, Véronique Schaaf, et la déléguée départementale aux Droits des femmes pour envisager une éventuelle dérogation. Sans succès. « Pour sortir de leur habitation et pouvoir nous appeler, les femmes peuvent prétexter d’aller aux courses par exemple, reprend-elle, avant de détailler la procédure. Elles pourront alors s’entretenir avec une conseillère qui, pour les cas d’urgence et de danger avéré, renverra sur la déléguée départementale pour une mise en sécurité ». Colette Valat regrette de ne pouvoir proposer mieux durant cette période « inédite » et promet, « si ça se reproduit, de mieux anticiper cette situation ». En attendant, elle croise les doigts : « Si ce confinement et ces déplacements restreints peuvent amener du bon avec une baisse de la pollution et une diminution du nombre de tués sur les routes, j’espère que le nombre de femmes victimes de violences conjugales ne sera pas encore pire durant les prochains jours. »

Contacts : la Maison des Femmes 05 53 40 03 62 sans oublier le 3919 mis en place par
l’État (gratuit et anonyme).

Sud-Ouest, Thierry Dumas, le 18 mars 2020.


Journée Internationale des Droits des Femmes

 

 

Le 8 mars, a eu lieu à Agen une manifestation pour les Droits des Femmes. Une fois de plus, la solidarité était de la partie, avec la présence de syndicats, et notamment du Groupe Mixité de la CGT, de notre association-soeur, le Planning Familial, de membres d'autres associations proches, comme Chrysalide 47, et de personnes affichant leurs convictions féministes.

La fin de la manifestation, aux Montreurs d'Images, a été l'occasion d'un apéritif qui a permis de poursuivre les conversations et les échanges.


Journée Internationale des droits des femmes - 13 mars

Le 13 mars, c'est la Journée Internationale des droits des femmes.

Au programme, exposition des ateliers Mère et Enfant, Déco-création et Couture, et conférence Femmes de science par Jean-Claude Marot, professeur agrégé de physique.


Programme de mars 2020

Le programme des activités de février est disponible.

Téléchargez-le.


Bla bla café du mardi 18 février 2020 : grandir dans la diversité

Dans le cadre de la préparation du prochain Keskili.
Avec Ali Al Muqri, écrivain, et Iyad Kallas, journaliste.


Programme de février 2020

Le programme des activités de février est disponible.

Téléchargez-le.


Programme de janvier 2020

Le programme des activités de janvier est disponible.

Téléchargez-le.


Bla bla café du 12 décembre 2019 : Discutons des mesures prises contre les violences faites aux femmes.

Après le Grenelle contre les violences faites aux femmes, nous discuterons ensemble des mesures prises et des actions qui restent à accomplir.


Communiqué de la Maison des Femmes

À l'occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes, la Maison des Femmes a fait paraître le communiqué ci-joint.


Nouvel atelier : cuisine-pâtisserie

La Maison des Femmes vous propose un nouvel atelier : cuisine-pâtisserie animé par Sabrina.

 

Cet atelier aura lieu les jeudis de 9 h à 12 h à la Maison des Femmes.

 

Vous êtes invitée à la réunion d'information qui aura lieu le jeudi 5 décembre 2019 à la Maison des Femmes.

 

 


Bla bla café du 21 novembre 2019 : Entendre les violences faites aux femmes

Entendre les violences faites aux femmes.

Dialoguez avec Laura Hervé et Rachida Statoua, conseillères conjugales et familiales, et Ursula Schaberl-Ogaki, psychologue et conseillère.


26/11/2019 "A thousand girls like me" : un film sur les incestes et les mariages forcés en Afghanistan et ailleurs


Téléchargez le tract sur le film "A thousand girls like me".


25/11/2019 Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Téléchargez le tract de la marche contre les violences faites aux femmes.


Programme de novembre 2019

Le programme des activités d'octobre est disponible.

Téléchargez-le.


Programme d'octobre 2019

Le programme des activités d'octobre est disponible.

Téléchargez-le.


Stages de septembre 2019

En plus des activités habituelles, des stages ont lieu en septembre : Lire, écrire et parler en français et Aïkido.

Téléchargez le programme.


Programme de septembre 2019

Le programme des activités de septembre est disponible.

Téléchargez-le.


Programme d'août

Il n'y a pas d'activités en août mais l'accueil est assuré en permanence du lundi au vendredi de 9 h à 17 h sans interruption.


Rassemblement contre les féminicides

Un rassemblement est prévu le samedi 6 juillet à 17h00 Place de la République à Paris. Ce rassemblement se fait autour des familles des 70 femmes victimes de féminicides depuis le 1er janvier.

Toutes les informations sont disponibles sur la page Facebook suivante : https://www.facebook.com/events/340658613280305/

La Fédération Nationale Soldirarité Femmes soutient ce rassemblement qui aura lieu à 17h00 place de la République. Vous pouvez nous y rejoindre à partir de 16 h 30 au niveau de la statue sur la place.


Programme de juillet

Il n'y a pas d'activités en juillet mais l'accueil est assuré en permanence du lundi au vendredi de 9 h à 17 h sans interruption.


Programme Juin

N'oubliez pas de vous inscrire ( par téléphone ou en venant nous voir ) avant la séance 

Programme Mai