4, rue Darfeuille - 47300 Villeneuve/Lot
05 53 40 03 62 maison.femmes@laposte.net
Un lieu d'accueil gratuit, d'écoute et d'accompagnement
pour toute femme victime de violence physique ou psychologique.
Ci-contre, les ateliers de juillet 2024.
Téléchargez ici le programme des ateliers de juin 2024.
L'assemblée Générale de la Maison des Femmes
aura lieu le jeudi 27 juin à 18h30, à la Maison de la Vie Associative, rue Saint-Cyr de Coquart.
Ouverte à toutes et tous !
Le programme de mai 2024 est disponible sur le bouton ci-contre.
Le programme d'avril est à télécharger ci-contre.
Téléchargez ci-contre le programme de mars 2024.
Prochain Blabla Café : "Spécial Filles" ! A vos agendas !
Nouveau : Atelier sportif ! Inscrivez-vous !
Téléchargez ici le programme de février 2024.
Les activités de janvier 2024 sont accessibles avec le bouton ci-contre.
Ci-contre, le bouton pour charger le programme de décembre.
Tous les vœux de la Maison des Femmes pour l'année 2024 !
Télécharger ici le programme des activités de novembre.
C'est ce mois-ci : la Journée Internationale de lutte contre les violences faites aux femmes aura lieu le samedi 25 novembre à partir de 18h au Centre Culturel de Villeneuve, puis à partir de 21h à l'Art est public.
Télécharger ci-contre le programme d'octobre.
IVG menacée à l'hôpital de Villeneuve.
La lutte s'organise avec la création d'un Comité de Défense de l'IVG à Villeneuve., le CDIV47, en février 2023.
Suivie d'actions, rencontres avec le directeur du Pôle Santé, avec l'ARS, et mobilisations citoyennes, rassemblement et marches, devant la Porte de Paris (ci-dessous), devant le Pôle Santé...
Et une menace contre la maternité de l’hôpital dans la foulée. Prise au sérieux par le Maire de Villeneuve qui apporte son soutien aux actions.
Suivie d'une autre marche, le 25 mars, et d'une vigilance accrue des acteurs d ela santé, du social, dont la Maison des Femmes, bien sûr.
Aujourd’hui, rien n'est encore réglé.
Téléchargez ci-contre le programme des activités d'avril 2023.
Le programme de mars 2023 est disponible au téléchargement ci-contre.
Bientôt le 8 mars !
Marquez notre Journée Internationale des Droits des Femmes par une grève féministe : un rassemblement, un événement, par exemple à 15h40, heure à partir de laquelle les femmes ne sont plus payées...
Pour réfléchir, s'inspirer, se solidariser, lisez l'appel signé par de nombreuses associations féministes, mais aussi syndicales, politiques... que vous trouverez ci-dessous.
Et rejoignez la Maison des Femmes qui s'empare de la date, comme tous les ans, dans le hall du Centre Culturel de Villeneuve-sur-Lot, à 18h.
Le programme des ateliers de février 2023 peut être téléchargé ci-contre.
La Maison des Femmes a besoin de
bénévoles en alphabétisation et en conversation.
Renseignez-vous
et faites-vous connaître et recruter en téléphonant !
Téléchargez le programme de janvier 2023 ci-contre.
Téléchargez ci-contre le programme de décembre 2022.
Pourquoi la loi qui a allongé le délai légal pour avorter est-elle difficilement appliquée ?
Article à lire dans la Revue de presse.
Le programme du mois de novembre est à télécharger ci-contre.
Création à Bordeaux d'un refuge uniquement dédié aux femmes victimes de violences !
Article à lire dans la Revue de presse.
Le programme d'octobre est à consulter ci-contre.
Le programme des activités de septembre est disponible en téléchargement ici.
Téléchargez ci-contre le programme du mois d'août.
Téléchargez ici le programme des activités de juillet 2022.
Programme des activités du mois de juin, à télécharger ci-contre.
L'Espagne réfléchit sur un congé pour les périodes menstruelles. État du débat dans Sud-Ouest, le 26 mai 2022, à lire dans la rubrique Revue de presse.
Téléchargez ci-contre le programme du mois de mai 2022.
Communiqué de la Fédération Nationale Solidarité Femmes suite au 1er tour des élections présidentielles : les propositions mensongères de Marine Le Pen.
Communiqué de l'ONG Equipop.
Equipop réaffirme que les extrêmes droites sont incompatibles avec l’égalité de genre et la justice
sociale
Avec 23,1% des suffrages exprimés, Marine Le Pen s’est qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle française. Elle jouera sans doute du fait qu’elle est la seule femme a avoir
accédé deux fois au second tour, se présentant comme la “Femme d’Etat” dont la France, et notamment les Françaises, aurait besoin. Equipop rejoint toutes les analyses exprimant les dangers
qu’elle fait peser de manière générale sur la démocratie. Nous soulignons, dans la même perspective, qu’elle est une ennemie et de l’égalité de genre et de la justice sociale.
La communication revisitée de Marine Le Pen ne doit pas faire oublier ses prises de position, ni cacher les réelles intentions de son programme. C’est sans doute dans son discours du 10 avril que
l’hypocrisie de la candidate du Rassemblement National (RN) a été la plus éclatante. Marine Le Pen s'est d’emblée positionnée du côté de la “justice sociale”, qui est tout le
contraire du principe de
préférence nationale du RN. Elle a fait miroiter un “cadre fraternel”, qu’elle détruit régulièrement à travers ses discours racistes. Elle a vanté “l’égalité, notamment entre les hommes et les
femmes”, à laquelle elle s’est toujours opposée et continue de s’opposer farouchement, avec ses positions
rétrogrades et ses alliances avec les partis politiques les plus conservateurs d’Europe et du monde. Enfin, elle s’est défendue de toute "attache partisane”, alors que son projet de société
sexiste et misogyne est encore complètement ancrée dans celui du FN, dont elle est l’héritière directe au sens propre et figuré.
Sur les 36 pages du programme et le document “22 mesures pour 2022”, le mot “femmes” n’apparaît qu’une fois, pour parler de ses sympathisantes. Il n’y pas de livret dédié à l’égalité
femmes-hommes parmi les 17 livrets thématiques. Le 7 mars, elle avait publié une “Lettre aux Françaises”, instrumentalisant la Journée mondiale de lutte pour les droits des femmes. Elle avait
effleuré de
façon opportuniste quelques enjeux comme les déserts gynécologiques ou la lutte contre les violences.
Sur la question des droits sexuels et reproductifs, rappelons qu’en 2012, Marine Le Pen envisageait de dé-rembourser l’IVG dans certains cas, dénonçant ce qu’elle appelait des
“avortements de confort”. Au Parlement européen, les député·e·s du RN, dont Marine Le Pen, ont systématiquement voté contre les textes relatifs aux droits des femmes et continuent de le faire,
qu’il s’agisse
d’améliorer l’accès à l’avortement (rapport Tarabella en 2015) ou de lutter contre les violences sexistes et sexuelles (résolution sur l’adhésion de l’UE à la Convention d’Istanbul en 2016). Plus
récemment encore, en 2021, les eurodéputé·e·s RN ont voté contre un texte visant à améliorer, par
exemple, l’accès à l’éducation à la sexualité dans l’UE, et contre un autre visant à lutter contre toutes les formes de violences, “en englobant expressément la violence faite aux femmes dans
toute leur diversité et celle dirigée contre les personnes LGBTIQ+ en raison de leur identité de genre, de leur expression de genre et de leurs caractéristiques sexuelles”.
Sur le volet de la solidarité internationale, Marine Le Pen conditionne l’aide publique au développement à la mise en place de politiques de gestion des flux migratoires. En plus
du caractère xénophobe de ce programme qui suffit à le disqualifier, l’arrivée du Rassemblement National au pouvoir empêcherait la mise en œuvre d’une politique étrangère féministe française
(pourtant
prévue par la loi sur la solidarité internationale adoptée l’été dernier). Les modèles et les alliés objectifs de Marine Le Pen sont les chefs d’Etat les plus misogynes de ces dernières décennies
: Donald Trump, Vladimir Poutine, Viktor Orban, etc… Sa politique aurait des conséquences catastrophiques pour les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+ en France et en Europe.
En tant qu’association féministe, le rôle d’Equipop est d’alerter sur les idées et les personnalités politiques qui vont à l’encontre de l’égalité de genre. C’est le cas de Marine Le Pen. Nous réaffirmons que son projet de société a toujours été et continue d’être profondément anti-féministe, anti-républicain, et raciste. Il doit être combattu.
Téléchargez ici le programme des activités du mois d'avril.
Présidentielles :
7 associations féministes réclament un plan d'urgence pour l'égalité.
Lisez ci-contre.
Le programme des activités de mars 2022 est à télécharger ci-contre.
Téléchargez ici le programme des ateliers de février 2022.
ENQUÊTE menée à la Maison des Femmes :
Les difficultés du parcours de sortie des violences
pour les femmes victimes.
250 à 300 femmes par an viennent à la Maison des Femmes pour avoir subi des faits de violences (psychologique, physique, administrative…), la plupart du temps conjugales. Comme les conseillères de la Maison des Femmes l'ont observé pendant leur accompagnement, elles font régulièrement face à des obstacles et dysfonctionnements institutionnels qui peuvent nuire à l'aboutissement de leur mise en sécurité. Suite à ces observations, la Maison des Femmes a fait réaliser une enquête.
Sur la base d'un recensement des cas de femmes reçues à la Maison des Femmes pour violences conjugales ces trois dernières années, un répertoire faisant état de celles qui répondaient aux critères d’inclusion de l’étude a été créé. Au total, les dossiers de 707 femmes (221 en 2018 ; 234 en 2019 ; 252 en 2020) ont été retenus. 13 d’entre celles qui ont été sollicitées ont accepté d’être interviewées et enregistrées. Ce travail a mis en lumière toutes les difficultés (policière, médicale, judiciaire...) rencontrées par ces femmes dans leur parcours pour leur mise en sécurité et le rétablissement de leurs droits et de ceux de leurs enfants.
Cette enquête est destinée à informer le public et les professionnels qui travaillent dans le cadre de ce parcours de sortie des violences sur la question des obstacles, voire des dysfonctionnements institutionnels auxquels se confrontent les femmes dans leur quête de sécurité et de justice.
Téléchargez ici le programme des activités du mois de décembre 2021.
Téléchargez le programme des activités de septembre avec le bouton ci-contre.
Travaux terminés !
Le reportage photo "avant-après"
est à regarder sur ce lien.
Les Blabla Radio de la Maison des Femmes
Le prochain Blabla Radio, ce sera : "Etre jeune en période de COVID", avec un spécialiste de la Maison des Adolescents d'Agen.
Déposer questions et observations à l'adresse suivante :
ou au numéro 06 18 31 26 38.
Voir l'affiche dans la rubrique Notre actualité.
Le 1er Blabla Radio, "Le COVID et la vie de famille", avec une psychologue, est disponible sur le site de Radio Bastides :
Le 2ème Blabla Radio, avec une médecin, est disponible aussi sur le site :
Info à la une :
Un homme violent avec sa femme et ses enfants l'est aussi envers les animaux domestiques. Observer l'état des animaux du foyer est un nouvel outil pour détecter la violence intrafamiliale.
Lisez l'article à télécharger ci-contre.
Rapport complet de l'OMS sur la violence exercée à l'encontre des femmes dans le monde.
Téléchargez ici le texte complet de l'article.
Violences sexuelles et "soutien informel" : très peu de femmes déposent plainte auprès des des forces de police après une agression sexuelle, viol, violence conjugale, etc. En revanche, il a été observé que le récit en est souvent fait auprès de personnes proches, et que ce "soutien informel" à base de paroles est important pour aider les personnes à reprendre pied.
Lisez ci-contre l'article de la revue The Conversation.
Les parquets demandent plus de moyens pour la grande cause nationale qu'est la violence conjugale, et pour éviter les féminicides.
Consulter l'article du Monde, à télécharger ici.
Sites conseillés à la une :
Nouveau : Nous toutes.org, site féministe.
Voir dans la rubrique Sites conseillés.
Poussez la porte !
Une équipe (secrétaire et conseillères conjugales) formée à l'écoute des violences subies vous recevra sans aucun parti pris.
À la Maison des Femmes, rue Darfeuille
Du lundi au vendredi, de 9 h à 17 h,
tous les jeudis matin et après-midi sur rendez-vous :
Entretien et suivi avec la psychologue
un lundi après-midi sur 2 sur rendez-vous :
Permanence juridique
À la Maison de la Vie associative, 54 sur Coquart, Villeneuve
Groupe de paroles « Violences conjugales », le mardi après-midi, 2 fois par mois, avec 2 intervenantes :
À l'Hôpital de Villeneuve-sur-Lot
De 10 h à 12 h, tous les vendredis, permanence d'une conseillère conjugale et familiale de la Maison des Femmes, en étroite collaboration avec les assistantes sociales et le service des Urgences de l'hôpital.